Рачев, Георгий Макарович
La guerre! Un grand instrument de la destruction et la tragédie … la Guerre enlevant tout sur la voie : les peuples, les continents. Elle prononce fièrement : «Je vais sur vous» - ou s'approche à pas de loup sournoisement, pour porter la blessure mortelle. Elle obéira au caprice de la fortune et la raison du chef militaire, dure mille ans, l'instant en coupant mille vies. Elle - le fer, le sang, le feu, l'élément du nettoyage et les destructions. Les compagnons de celle-ci est l'amertume et la gloire. La terreur de celle-ci est la folie et l'absurdité, la nécessité de tuer à elle-même pareil. Je veux vous raconter l'arrière-grand-père Racheve Géorguy Makaroviche, le participant de la Grande Guerre nationale, heroiquement péri sous Sviroy (l'Urkaine)http://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%A3%D0%BA%D1%80%D0%B0%D0%B8%D0%BD%D0%B0], En automne 1943. Le mien est fait le récit à la base des souvenirs de ma grand-mère, la fille Géorguy Makarovicha.
L'enfance. Mon arrière-grand-père est né en 1918, aux Komis - permjatskom la circonscription autonome, dans le village le Champ labouré. Il était de la famille des ouvriers et des paysans. Avant la guerre travaillait à l'usine selon la fabrication des tanks. On peut l'appeler "l'âme de n'importe quelle compagnie", car il était le accordeoniste.
la Jeunesse. Se mariait l'arrière-grand-père tôt. Bientôt chez lui est née ñ«þка Tamara (ma grand-mère), qu'il aimait beaucoup, le bord, sur les mains il portait … Dans chaque lettre du front beaucoup de attention donnait aux questions sur sa santé, la vie. Dans chaque lettre demandait la mère beaucoup de ménager Tamaras
L'appel. en Automne 1941 il lui est venu une convocation du bureau de recrutement - on commençait la guerre. Il était temps de partir pour le front. Avec lui-même il a pris les objets chauds et seulement plus nécessaire. Accompagnaient par sa toute famille. Les préparatifs passaient à èÒñÙ¼¬áÓ
Pour la grand-mère cela il y avait une dernière fois, quand elle voyait папу, était assise chez lui aux épaules. À celle-ci il y avait 6 ans. De kudimkar[1] Ils sont partis pour Perm[2], Où on formait le corps blindé. De Perm ils sont partis, déjà sur les tanks, à la fois pour le front.
L'arrière-grand-père était le commandant de la compagnie blindée. Il écrivait souvent lettre, à qui décrivait les combats, racontait cela, il est combien de aux gens, particulièrement jeune, a péri. Racontait sur «les garçons sans moustache» défendant la patrie bravement. À la base des lettres envoyées par l'arrière-grand-père, qui, malheureusement, n'ont pas été gardé, sa fille l'a écrit le poème Media-Poesie11.ogg :
le Souvenir du père "
Je me rappelle le soir d'été, le jardin, le banc et toi,
Tu m'as mis facilement pour les épaules, en aimant
Portait, en tournant selon le jardin, лаского шепча :
«Ma fille, fille, natal, comme je t'aime!»
Dans une heure pour le front est parti pour la tanière de l'ennemi,
Et les fascistes battait du tank adroitement jusqu'à Orel [http:www.art.oryol.ru/]
Et de nouveau je me rappelle le soir, mais seulement c'était l'hiver
Et je en plus ai grandi,
Comme a poussé un cri ta mère blanche,
Ayant eu le temps trois mots lire …
Mais dans un mois il nous est venu ta dernière lettre,
Où tu parlais{disais} du combat et дочку ménager là demandait!
«Quarante huit heures le combat, les tanks - fidèle кони avec moi,
Par l'avalanche terrible vont pour l'ennemi : le fracas, l'explosion, le grincement, le tir - gémit,
Pleure, sanglote la Terre!
Et soudain - s'est asphyxié l'ennemi, à nous est arrivée il est temps de se reposer.
Le soleil vif du ciel regarde, la neige par-ci par-là, sur la colline brille,
Exactement, comme les maisons, par les jours de paix,
Seulement les tanks, les soldats, oui рвы.
Je regarde sur la personne fatiguees des combattants,
Les gamins sans moustache remplaçant les pères,
Tellement ferme endormant sur une minute - deux,
Pour que combattre avec une nouvelle force, deux fois!
Mais moi, chers, pas du tout jusqu'au rêve,
Au combat поведу je en acier cheval,
Les forces inégal, sont senties par moi,
Il y avait deux tanks oui blessés je.
Je vous écris, natal cette lettre,
Je vois le banc et la personne de fille.
Voulait encore écrire,
Oui l'ennemi soudain a commencé l'attaque de nouveau … »
Avec soin les lettres du père au bord,
Les récompenses du courage dans la lutte pour le pays.
Dans ce que il y a aujourd'hui un monde par terre
Le père aimé, merci à toi!!!
Juillet 1987.
En 1943 tout l'équipage de Grigory Makarovicha était tue. À son tank s'est trouvée la mine. Ainsi que se ne étant pas tiré du tank, il a brûlé. C'était la mort héroïque.
Maintenant de ceux qui voyait la guerre non à la télé, qui a porté et son a éprouvé, avec chaque jour devient de moins en moins. Font connaître{savoir} les années, de vieilles blessures et les émotions.
«À la vie … il y a toujours une place aux exploits» M.Gorky